Europe - Plan de sobriété énergétique, un an après les annonces, où en est-on ?

Octopus Energy France était présent ce jeudi 12 octobre au colloque organisé par la ministre de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher

 Voilà un an que le gouvernement a détaillé son plan de sobriété énergétique. Objectif ? Baisser rapidement notre consommation de 10% par rapport à 2019. Si les décisions ont été parfois contraignantes pour l’État qui tient un rôle modèle, les mesures d’économies d’énergie pour les Français, les entreprises et les collectivités sont restées, pour l’heure, uniquement incitatives. Un an après, que penser de l’efficacité de ces mesures ? Comment l’incitation, plutôt que la coercition, peut et doit être la bonne solution ?

« Les économies d’énergie, levier facilement activable, se font au bénéfice de tous : les particuliers et professionnels réduisent leurs factures, entraînant un gain de pouvoir d’achat pour les premiers et une baisse des coûts fixes pour les seconds ; notre pays importe, et donc s’endette, moins ; et notre planète est de fait moins exploitée. Inciter tous les Français à agir sur leur consommation est la solution prioritaire à cette crise. Pour être plus efficace, ce plan pourrait désormais aller plus loin, ce en récompensant ceux qui participent à cet effort national de réduction de consommation, chacun selon ses conditions et capacités à le faire. » explique Vincent Maillard, Président d’Octopus Energy France.

En ce sens, parce que c’est dans son ADN, Octopus Energy France incite depuis toujours ses clients à réduire leurs dépenses en énergie au quotidien via un système de bonus éco-conso qui encourage financièrement leurs efforts. Un appel à la sobriété de longue date, en phase avec celui, plus récent, du gouvernement.

« Si tous les fournisseurs avaient mis en place de tels systèmes incitatifs quand nous l’avons fait, il y a 6 ans, nous aurions aujourd’hui économisé en cumulé 100 TWh d’électricité, soit le tiers de la production d’énergie nucléaire de 2022. Il est plus que jamais temps d’agir concrètement. » ajoute Vincent Maillard.

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