Littéraires - Otage en sursis - MC VIDJA

Otage en sursis - MC VIDJA

Otage en sursis - MC VIDJA

Par LIBRE-LIVRE Rubrique SHOPPING, le 06 Avril 2021

LE COMBAT D’UNE ÉCRIVAINE CONTRE LE RAPT D’ENFANTS

Le rapt d’enfant n’est pas un fait divers : c’est un fléau quotidien. En 2020, chaque jour, un enfant a été enlevé par un de ses parents et séquestré dans un pays étranger dans lequel il restera prisonnier des mois, souvent des années.

Cette terrible réalité, elle en a conscience parce qu’elle l’a vécue. Elle avait 10 ans et demi lorsque le compagnon de sa mère l’a enlevée et l’a emmenée en Algérie. Pendant de longues années, elle a connu l’isolement, la maltraitance, l’intégrisme religieux, la peur et la souffrance. On l’a séquestrée, violentée, soumise aux radicaux, et empêchée de lire, de parler français, d’écouter de la musique, de danser...

Aujourd’hui, enfin, elle fait entendre sa voix. Elle raconte ce qui lui est arrivé, avec son ouvrage Otage en Sursis. Ce témoignage, qu’elle a rédigé sous le couvert de l’autofiction pour se protéger contre ses bourreaux, est une façon de se libérer. Mais c’est aussi et surtout, nous l’espérons, une lueur d’espoir pour tous les enfants victimes de rapt parental, et pour les parents confrontés à la disparition de leur enfant. Si on lui avait dit, durant sa captivité, qu’il était envisageable voire possible de s’enfuir, cela l’aurait tant aidée ; elle se serait sentie moins seule et plus forte.

Faire entendre sa voix est vital. Elle s’est évadée, mais depuis et même des décennies plus tard, elle reste prisonnière de ses souffrances et de l’impunité dont bénéficient ceux qui lui ont tout pris. Son évasion n’a pas encore complètement réussi. Elle se sent encore amputée, et tant que son message ne sera pas entendu par les instances qui peuvent agir, elle ne connaîtra pas de répit.

La lutte contre les rapts d’enfants et à la reconstruction des victimes à leur retour est son combat. Le cadre législatif existe, depuis 1988, mais ce n’est malheureusement que de l’encre. Elle a des propositions concrètes qui pourraient améliorer la situation. Ensemble, avec les victimes et leurs parents, le grand public, les médias, les associations et les instances, nous pouvons changer les choses durablement.

Il est grand temps d’agir : Otage en Sursis n’est pas seulement un témoignage : c’est un appel à la lutte, qui, nous l’espérons, aura un écho retentissant, et fera naître d’autres voix, trop longtemps tues.

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1- L’ÉCRITURE : COMBAT ET DÉLIVRANCE

UNE MISSION : LUTTER CONTRE LE RAPT PARENTAL

Enlevée en France et séquestrée en Algérie pendant 10 ans lorsqu’elle était enfant, MC ViDja se donne aujourd’hui pour mission de rendre visibles et audibles les victimes de rapts parentaux, quelles que soient leur origine ou leur condition sociale.

Son message s’adresse à l’État, aux instances de la Protection de l’enfance, de la Justice, des Droits des enfants et des Droits des femmes nationales et internationales, aux services sociaux nationaux, ainsi qu’à la Cour pénale internationale de La Haye, à l’UNICEF, à l’ONU, et à l’UNESCO.

Écrivaine et universitaire, elle fait entendre sa voix dans les médias, mais aussi dans son livre Otage en Sursis, proposant des mesures visant à lutter contre le phénomène du rapt d’enfants, et à accompagner les victimes à leur retour.

Ce combat contre le rapt parental apparaît plus complexe et plus profond. Un effet boule de neige socio-politique impactant l’accès à la formation, à l’emploi et au logement social ; et dans certains cas, dont celui de MC ViDja, implique la lutte antiterroriste. Sujets qu’elle aborde aussi précisément que le rapt en lui-même et qui l’ont amenée à solliciter des Députés qu’elle cite dans Otage en Sursis. Selon MC ViDja « Comme le rapt a ses conséquences, le combat anti rapt parental a ses luttes socio-politiques sous-jacentes ... Être seule sans famille ni soutien social au retour fut terrible, être SDF fut une descente aux enfers, un cauchemar inattendu... ».

Pour diffuser son message et son projet citoyen, MC ViDja continue à écrire et à aller à la rencontre de ses lecteurs. Elle a présenté Otage en Sursis à deux salons en octobre 2020, et participera à de nouveaux salons à partir de septembre 2021.

Les ouvrages de MC ViDja ont été publiés à compte d’éditeur chez Nombre7 Éditions. Ils sont disponibles sur commande sur la boutique en ligne de Nombre7, ainsi que dans toutes les librairies physiques et en ligne. L’auteure travaille sur son troisième livre, qui sera la suite d’Otage en Sursis dans lequel elle n’a pas encore tout dévoilé.

RETOUR SUR PRÈS DE QUARANTE ANS DE LUTTE CONTRE LE RAPT D’ENFANTS

« En réalité, le rapt parental est un phénomène socio- politique tentaculaire pour toutes les victimes, mais aussi pour la société. Sauf miracle, être rapté c’est en prendre pour perpette. Condamnés à la misère et/ou à la mort mentale voire physique. Perpette précarité... Perpette souffrance est, encore en 2021, la réalité des victimes de rapt parental... » MC ViDja

• 1984. Publication de « Les enlèvements d’enfants franco-maghrébins ou l’intérêt des États contre le droit des personnes », de Marie-Victoire Louis et Martine Muller dans la revue Les Temps Modernes. Cet article aborde la question des enlèvements d’enfants franco-maghrébins, mettant l’accent sur l’impunité dont profitent les parents rapteurs.

• 1988. Les mères d’Alger. Cinq ans après la première manifestation à Paris de mères privées de leurs enfants par leurs ex-compagnons ou maris algériens, une convention sur les enfants franco-algériens est signée par la France et l’Algérie.

• 1996. Les mères de Tunis. Huit mères françaises se rendent en Tunisie pour pousser les autorités à appliquer la convention signée en 1983. Chaque année, on recense une quinzaine d’enlèvements d’enfants vers la Tunisie.

• 2015. Publication d’Enlèvement parental international – Saisir le juge ou s’engager dans la médiation?. Dirigé par Christine Guy-Ecabert et Élisabeth Volckrick, l’ouvrage montre l’augmentation des enlèvements d'enfants en Suisse.

2016. Nouveau cas de rapt d’enfant par un père algérien. Une jeune Gersoise lutte pour retrouver son fils de quatre ans, enlevé par son père.

2020. La Commission européenne lance une consultation publique sur les droits de l’enfant.

2020. Emission de France 2 sur les enlèvements d'enfants au japon.

2020. Article de BFM « Enlèvement parental à l'étranger » : « Certains États se soustraient à leurs engagements nationaux ».

PROPOSITIONS DE MESURES POUR LUTTER CONTRE LE RAPT D’ENFANTS

Lors de ses interventions orales, MC ViDja propose plusieurs mesures. Celles-ci sont nées de son expérience et de ses recherches sur les rapts d’enfants, ainsi que de ses entretiens avec une avocate et un juge, ayant été acteurs dans l’affaire des mères d’Alger, qui l’ont contactée suite à la publication d’Otage en Sursis en 2020.

Prévenir au lieu de guérir en renforçant les sorties et entrées de territoires nationaux et internationaux.

A l’heure des nouvelles technologies, qui n’existaient pas dans les années 1980 et 1990, il est indispensable de traiter les sorties et entrées de territoires de manière renforcée. Les États et les régions, les départements, ainsi que bien évidemment les centres de police et les préfectures, doivent suivre les sorties et les entrées de territoire de chaque enfant de mariage mixte, ou tout au moins ceux dont le parcours familial juridique et/ou social indique un risque d’enlèvement parental.

À chaque déplacement autorisé, les obligations des parents et les sanctions liées à leur non-respect doivent être clairement indiquées aux parents :

  • Les déplacements doivent être déclarés par les deux parents à la sortie et à l’entrée.
  • Un retard de présentation de l’enfant de 1 heure doit déclencher un déplacement (sans prévenir) à l’adresse indiquée de résidence. Le délai de 1 heure est en effet décisif pour éviter le rapt, et dissuasif pour celles et ceux qui souhaiteraient le commettre.
  • En cas d’absence, le parent en question doit être joint par téléphone. Sans réponse, une alerte (nationale, européenne et internationale) doit être lancée sans attendre.

Pendant l’enlèvement : soutenir et veiller à la sécurité des enfants enlevés

Même à distance, les États et les instances peuvent contribuer à la protection des enfants. Avocats, psychologues et assistantes sociales doivent pouvoir rendre visite - en présentiel ou à distanciel - aux enfants enlevés et s’entretenir seuls avec eux afin de veiller à leur santé physique et mentale en attendant de régler le rapt parental. L’accès à l’information, aux soins, et le droit de ne pas être maltraité doivent être mis en œuvre par tous les moyens légaux de la protection de l’enfance. Tous les enfants, quel que soit leur âge, doivent pouvoir être entendus et écoutés.

Après le retour : garantir la dignité et la sécurité, aider à la reconstruction et reconnaître juridiquement et socialement le statut d’enfant rapté.

Lors du retour, après des mois ou des années de tortures psychologiques et physiques, l’enfant (ou l’adulte) doit être accueilli dans une structure adaptée où il recevra les soins et les aides nécessaires pour se reconstruire. L’objectif est d’éviter que ces enfants et adultes se retrouvent sans domicile fixe et condamnés à la misère et à la précarité à vie. Pour cela, ils doivent être reconnus en tant que victimes de rapt parental et bénéficier d’une aide psychologique à vie ainsi qu’une pension et un logement, car très peu réussissent à se reconstruire.

OTAGE EN SURSIS

Paru le 1er juillet 2020, Otage en Sursis, De l’autre côté de la mer * L’autre rive de ma vie est un témoignage puissant et poignant qui a pour but de sensibiliser le grand public au rapt parental. C’est un récit que MC ViDja a souhaité faire entendre depuis ses 14 ans, l’histoire bouleversante de son enlèvement par l’époux de sa mère, et de sa séquestration en Algérie.

L’auteure y raconte sa vie violée sous la forme de l’autofiction pour des raisons juridiques et de sécurité, car les menaces de mort demeurent à vie et ne manquent pas d’être subtilement mais assurément rappelées. Elle nous livre sa découverte d’un pays dont elle ignorait l’existence, et dans lequel elle est tyrannisée et soumise aux radicaux ; on la voit se noyer dans la violence d’un double terrorisme familial et national.

Otage en Sursis est aussi le récit d’une survie. Dès les premiers instants de cet enfer, MC ViDja rêve de ce livre, un hymne à l’espoir et au bonheur, et pense à son évasion. Tel un phénix qui renaît de ses cendres, l’auteure nous livre aujourd’hui dans cet ouvrage son parcours, des ténèbres obscures à la lumière : une renaissance puissante et impressionnante, qui force respect et admiration.

HIRAK, L’ART ÉVOLUTION DU SOURIRE

Hirak, L’art évolution du sourire allie l’écriture de MC ViDja et l’art de Adel Laddi, artiste plasticien parisien. L’ouvrage commence là où se termine Otage en Sursis, en février 2019, avec la révolution du sourire algérienne.

Ce mouvement citoyen et résistant d’une ampleur inédite en Algérie a surpris le monde entier par sa force et sa longévité. Pour MC ViDja, il a été l’occasion inattendue, auparavant impensable et encore risquée, de franchir à nouveau - mais cette fois libre - la Méditerranée afin de manifester pour la liberté dans ce pays où le terrorisme intégriste lui avait tout pris, et d’y être en tant que femme militante libre alors même que sa vie y fut et y reste à jamais menacée.

L’ouvrage de MC ViDja et d’Adel Laddi rend hommage au peuple algérien en exposant la Révolution du sourire à travers l’art urbain ; le graffiti et le street art. L’art de la liberté est au centre ; une alliance artistique et culturelle unique, la première du genre.

C’est un travail de mémoire collective qui met à l’honneur un champ artistique exceptionnel. Miroir d’une révolution extraordinaire, Hirak, L’art évolution du sourire est paru le 22 février 2021, date anniversaire des deux ans du Hirak ; date à laquelle le livre Hirak a été à l’honneur de l’exposition qui a eu lieu à la Galerie d’Art 3F à Montmartre à Paris.

Comme toutes les entreprises de MC ViDja, ce livre est un appel à la paix ; l’art du pacifisme est sa devise pour défendre et continuer le combat.

TÉMOIGNAGES DE LECTEUR·RICE·S

« Un récit d’une grande puissance, qui ne vous laisse pas indifférent. Le parcours d’une femme courage, tellement incroyable ! Mais la sincérité de la narration, peut, pour les plus sensibles d’entre nous, nous émouvoir jusqu’ aux larmes. Témoignage intense d’un chemin de douleurs que l’auteur a su transformer par l’amour auprès de ses élèves. L’amour de transmettre un message d’espoir et de tolérance. Un livre qui fait grandir, qui interpelle, qui touche le cœur ! » Tit41

« Ce livre est une merveille absolue. Quel courage de trouver tous ces mots, de s’ouvrir au monde !! C’est admirable d’avoir une telle constance de travail et d’avoir trouvé les forces de continuer à écrire, malgré le manque de temps et la difficulté du sujet. Ça n’a pas dû être facile de revisiter ces souvenirs pour nous offrir ce livre si magnifique ! Définitivement un exemple à suivre, qui m’inspire à faire confiance en moi et à trouver la force de mon indépendance. » Sancg_1

« Des lignes poignantes, un combat sans fin, une femme très courageuse qu’on découvre à travers ce livre... Une réalité hors du commun, j’ai eu cette femme en tant que professeure à l’université et je n’aurai jamais pensé qu’elle ait traversé un quart de son histoire... Une histoire grandissante, touchante, et courageuse ! - Dadaa10

« Le livre de MC ViDja est un témoignage autobiographique poignant. On suit en tremblant les efforts que cette adolescente déploie pour échapper à un piège où la famille et les institutions étatiques des deux côtés de la Méditerranée conjuguent leurs efforts pour l’enfermer. On admire autant son énergie que sa persévérance. À lire ! » Lbloch

https://laurentbloch.net/BlogLB/Otages-en-sursis-De-l-autre- cote-de-la-mer-L-autre-rive-de-ma-vie

« J’ai eu la chance d’avoir MC ViDja comme professeur d’arabe. Le jour où elle nous a un peu raconté son histoire, j’ai pleuré dans mon coin et heureusement c’est passé inaperçu. À travers son livre, elle nous raconte son histoire et nous montre à quel point la famille peut être mauvaise. Mais les seules choses qu’on devrait retenir c’est « d’avancer et de positiver », malgré les casseroles qu’on traine. Une phrase que j’ai retenue d’elle et qui m’aide à m’en sortir. » Roua1212

2- UNE ENFANT BRISÉE, UNE ADULTE RÉSILIENTE

« Un seul, mais fatal coup. Je le leur préparerai en guise de retour et d’adieu. Je ne tergiverse jamais, patience extrême, silence assourdissant, mais frappe unique ! Un sniper n’a droit qu’à un seul tir... »
« Je ne suis pas ce qui m’est arrivé.
Je suis ce que j’ai décidé et pu devenir
» MC ViDja

BIOGRAPHIE DE MC VIDJA

MC ViDja est née en France, dans une famille disloquée. Son père part quand elle n’a qu’un an, et sa mère se choisit un nouveau compagnon mécanicien et trafiquant de drogue. La petite fille grandit sous les coups incessants de sa mère, enlisée dans la consommation de drogues. Tous les matins, celle-ci la traite de « bougnoule », de « sale Arabe » et de « folle », l’étrangle sous la douche, et la mord jusqu’au sang.

En juillet 1985, le beau-père de MC ViDja l’emmène, avec ses deux petites sœurs, en balade dans le port. La promenade s’achève de l’autre côté de la Méditerranée, en Algérie. À la frontière à Marseille, en France, elle dit ne pas être la fille de son kidnappeur, mais le policier des frontières françaises ne l’écoute pas, ignore l’alerte et laisse passer.

Agée de onze ans, la petite fille est déposée chez la mère de son père biologique, considéré comme fou juridiquement. Un de ses oncles devient son tuteur légal. Cette nouvelle figure paternelle sera un bourreau cruel. Riche ingénieur, il s’enrôle dans le FIS (Front Islamique du Salut) et devient un terroriste de premier plan.

Avec le début de la décennie noire de l’Algérie, dans les années 1990, commence un nouveau cauchemar pour MC ViDja : celui de l’intégrisme islamique, qui la prive de toutes ses libertés. Otage, séquestrée, elle se retrouve prisonnière à la fois à l’extérieur par les attentats, les tirs de mitrailleuse d’une guerre politique qui vient s’ajouter à la guerre interne familiale faite de tortures et d’une surveillance constantes ; l’adolescente se réfugie alors dans son mental et revit ses souvenirs d’enfance pour ne pas se laisser étouffer, et commence à écrire.

Refusant la radicalisation, elle est forcée de creuser sa tombe dans le jardin familial. Elle rêve toujours de s’évader et, quand elle apprend qu’elle sera mariée de force à un terroriste, elle décide de passer à l’action. La première tentative sera un échec, et on la punit en l’enfermant pendant des mois sans lumière, dans 9 mètres carrés.

La deuxième tentative réussit, mais le supplice n’est pas fini pour autant. De retour en France, MC ViDja doit continuer à se battre pour ne pas mourir de froid ou de faim. SDF, elle vit dans les rues de Paris, puis va de foyers de rapatriés à foyers de jeunes travailleurs. Le suicide, qu’elle pensait avoir quitté en s’évadant d’Algérie, redevient une idée fixe dans son quotidien.

C’est l’amour de son enfant associé à la connaissance et le savoir qui fourniront enfin à la jeune femme son échappatoire. Elle fait un doctorat en langues, littératures et sociétés, et passe le concours des maîtres de conférences des universités françaises. Enseignante-chercheuse et spécialiste de l’histoire des révolutions arabes dans la presse politico- littéraire du 19e siècle à nos jours, MC ViDja transmet à ses étudiant·es la langue et les cultures arabes, ce qui est sa façon de continuer à se battre contre l’intégrisme. Un combat pacifique pour que la paix et le vivre ensemble règnent. Sa devise, prévenir au lieu de guérir, agir en amont à l’école de la République.

Confrontée à la précarité de l’emploi et du logement et à une santé fragilisée par une vie de souffrances et de dur labeur, MC ViDja retrouve une nouvelle respiration dans l’écriture, son refuge depuis son enfance. Arrive alors Otage en Sursis puis Hirak.

Aujourd’hui, elle continue à rêver d’excuses publiques et symboliques, et d’un dédommagement de l’État, qui l’a abandonnée toute sa vie durant.

PORTRAIT DE LAUREN, INGÉNIEURE, ARTISTE, ET ENFANT DE L’ENFANT VOLÉE

Dans l’univers de MC ViDja, il n’y a pas que l’écriture et l’enseignement. Il y a aussi Lauren, sa fille, le trésor de sa vie.

De formation initiale d’ingénieur dans la science des données, Lauren a su s’éduquer à la musique électronique avec force, passion et persévérance. Aujourd’hui jeune artiste parisienne, DJ et productrice, Lauren est une aficionado de la techno sous toutes ses facettes. Groovy et sentimentale, elle aime s’aventurer vers des contrées Ambiant et des sonorités piquantes, bleep et glitch.

Lauren est, pour MC ViDja, plus qu’un bonheur et une fierté. C’est aussi la preuve que l’on peut être parent, et même un très bon parent, après avoir vécu l’enfer à cause de ses propres parents. L’ancienne enfant volée a ainsi su élever sa propre enfant dans la bienveillance et l’amour, sans reproduire les schémas de maltraitance et d’addiction de ses géniteurs, ce qu’elle évoque de façon forte et succincte dans Otage en Sursis.

POUR EN SAVOIR PLUS

Site web : https://www.mcvidja.com/

https://www.instagram.com/mc_vidja/tagged/?hl=fr
Page de l’auteur sur Babelio : https://www.babelio.com/auteur/MC-ViDja/548421

Otage en Sursis chez Nombre7 : https://librairie.nombre7.fr/recit- essai/1759-o-9782381531366.html?search_query=otage+en+sursis&results=6

 https://www.facebook.com/ArtsLIBERATIONS

 https://twitter.com/McViDja

Extrait d’Otage en Sursis : https://books.google.fr/ books?id=x8zxDwAAQBAJ&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_atb#v=onepage&q&f=false

Article sur la musique de Lauren : https://itin-bis.com/2021/02/19/techno-premier-ep-rise-lauren- grf-black/

Hirak. L’art évolution du sourire : https://librairie.nombre7.fr/livres-illustres/2226- hirak-9782381534022.html?search_query=HIRAK&results=1

 https://instagram.com/feel_lauren

Editeur : Nombre7 Editions

Nbres de pages : 260 pages

Prix : 18,50 euros

 

 

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